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 James Bond 007 (Ian Fleming)

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cdang

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MessageSujet: James Bond 007 (Ian Fleming)   James Bond 007 (Ian Fleming) Icon_minitimeLun 26 Juil - 18:18

Ian Fleming, « James Bond 007 »

Pour parler des romans et nouvelles — les films c'est par-là — (copier-coller de Wikipédia) :

  • 1953 : Casino Royale (Espions, faites vos jeux) [Presses Internationales, 1960] réédité chez Plon en 1964 sous le titre Casino Royal et chez Bragelonne en 2006 sous le titre Casino Royale
  • 1954 : Live and Let Die (Vivre et laisser mourir) [Presses Internationales, 1959] sous le titre Requins et services secrets, réédité chez Plon en 1964 sous le titre Vivre et laisser mourir et chez Bragelonne en 2007 sous le même titre
  • 1955 : Moonraker (Entourloupe dans l'azimut) [Gallimard, 1958] réédité chez Gallimard en 2002 sous le titre Moonraker et chez Bragelonne en 2008 sous le même titre
  • 1956 : Diamonds Are Forever (Les diamants sont éternels) [Gallimard, 1957] sous le titre Chauds les glaçons !, réédité chez Gallimard en 1973 sous le titre Les diamants sont éternels et chez Bragelonne en 2010 sous le même titre
  • 1957 : From Russia With Love (Bons Baisers de Russie) [Presses Internationales 1960] sous le titre Échec à l'Orient-Express, réédité chez Plon en 1964 sous le titre Bons baisers de Russie
  • 1958 : Dr. No (James Bond contre Dr No) [Presses Internationales 1960] sous le titre Docteur No, réédité chez Plon en 1964 sous le titre James Bond contre Dr No
  • 1959 : Goldfinger (Opération Chloroforme) [Presses Internationales 1960] réédité chez Plon en 1964 sous le titre Goldfinger
  • 1960 : For Your Eyes Only (Bons baisers de Paris) [Presses Internationales 1961] sous le titre James Bond en danger, réédité chez Plon en 1964 sous le titre Bons baisers de Paris : recueil de nouvelles

    • Bons baisers de Paris ou James Bond en embuscade (From a View to a Kill)
    • Top Secret (For Your Eyes Only)
    • Chaleur humaine (Quantum of Solace)
    • Risico (Risico)
    • Le Spécimen rare de Hildebrand (The Hildebrand Rarity)


  • 1961 : Thunderball (Opération Tonnerre) [Plon, 1962]
  • 1962 : The Spy Who Loved Me (Motel 007) [Plon, 1966]
  • 1963 : On Her Majesty's Secret Service (Au service secret de Sa Majesté) [Plon, 1965]
  • 1964 : You Only Live Twice (On ne vit que deux fois) [Plon, 1965]
  • 1965 : The Man With The Golden Gun (L'Homme au pistolet d'or) [Plon, 1965]
  • 1966 : Octopussy and the Living Daylights (Meilleurs vœux de la Jamaïque) [Plon, 1966] : recueil de nouvelles

    • Meilleurs vœux de la Jamaïque (Octopussy)
    • La Sphère d'émeraude (The Property of a Lady)
    • Bons Baisers de Berlin (The Living Daylights)
    • 007 à New York (007 in New York)




Dernière édition par cdang le Lun 26 Juil - 18:25, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: James Bond 007 (Ian Fleming)   James Bond 007 (Ian Fleming) Icon_minitimeLun 26 Juil - 18:22

En allant chez papa et maman, j'ai trouvé par hasard Bon Baisers de Russie de Ian Fleming (1957) dans l'édition Presse Pocket 1963.

James Bond 007 (Ian Fleming) Pp_1975_bbdrussie

Alors vue l'année, il y a bien évidemment quelques trucs qui piquent. Assez peu, hein, donc j'évacue ça tout de suite. Du sexisme évidemment, c'est quasi dans l'ADN de la série. Le perso féminin principal est un tantinet naïve et manipulée, et un chouïa potiche.
p. 238 a écrit:
Je ne pourrai pas m'endormir si tu ne me tiens pas, avait-elle dit. Il faut que je sache si tu es là, tout le temps. Ce serait terrible, de me réveiller et de ne pas pouvoir te toucher. S'il te plait, James !
Il y a une femme puissante, colonelle du MGB, mais elle est homo.
p. 105 a écrit:
Le colonel Klebb, de SMERSH, portait une chemise de nuit transparente en crêpe de Chine (I) orange. […] On pouvait apercevoir au travers un soutien-gorge, fait de deux énormes roses de satin, des pantalons à l'ancienne mode, en satin rose, fermés au dessus des genoux par des élastiques. Un genou bosselé et jaunâtre, gros comme une noix de coco, apparaissait entre les pans entrouverts de la chemise de nuit, dans la pose classique que le sculpteur fait prendre au modèle. Les pieds étaient chaussés de pantoufles de satin rose, ornés de pompons de plumes d'autruche. Rosa Klebb avait ôté ses lunettes. Ses yeux étaient barbouillés de mascara, ses joues et lèvres étaient recouvertes d'une épaisse couche de rouge. On aurait dit la plus vieille putain du monde.
— C'est… tr…ès… jo…li…, balbutia Tatiana.

(I) En français dans le texte
Et une bagarre à mort (par une chance heureuse interrompue avant l'issue fatale) entre deux femmes tziganes qui confine au catch dans la boue.
p. 194 a écrit:
Les deux filles se séparèrent et reculèrent comme des chats. Leurs corps brillaient à travers les derniers lambeaux de leur chemise et l'on voyait du sang sur les seins de la plus grande.
Et il y a aussi un fond de racisme. De l'anti-communisme c'est évident, de la part d'un ancien de le Naval Intelligence en pleine guerre froide, pas de surprise. Contre les Turcs aussi.
p. 143 a écrit:
Ainsi, ces petits fonctionnaires bruns, affreux, corrects, étaient les Turcs modernes ! […] il guetta les yeux qui démentaient les voix douces et polies. C'étaient les yeux brillants, mauvais, cruels d'hommes qui sont depuis peu descendus des montagnes. […] Ils avaient été entraînés durant des siècles à observer par-dessus les troupeaux et à déceler les moindres mouvements dans le lointain. C'étaient des yeux, qui sans en avoir l'air, ne perdaient pas de vue le manche du couteau, qui comptaient les grains de farine et les plus menues pièces de monnaie, qui épiaient le tremblement des doigts du marchand. Des yeux durs, méfiants, jaloux, pour lesquels Bond n'avait pas de sympathie.
Bien sûr, c'est James Bond qui est raciste, Fleming on n'en sait rien.

Ça a l'air horrible comme ça mais détrompez-vous. J'ai cité les maigres phrases qui m'ont scandalisées sur 310 pages. Le reste est plutôt très bon, ou, pour être plus objectif sur ma subjectivité, m'a beaucoup plu.

D'abord, le nom de Bond n'est cité qu'à la fin du chapitre V, p. 58, et le personnage n'apparaît qu'au chapitre XI (p. 117). Il y a au final assez peu d'action, beaucoup de descriptions, d'introspections, de préparation (complot et contre-complot), sans que ce soit lourd. Et surtout, le bouquin se termine de manière assez inattendue en suspens…

Il est amusant de voir qu'à l'époque c'est le français qui était classe. Les persos aiment ponctuer leurs phrases de mots français, en particulier dans l'Orient Express. Autres temps, autres mœurs…

Par rapport au film, le grand ennemi n'est pas le SPECTRE mais le SMERSH. La partie préparatoire (la première partie, jusqu'à la page 113) est expédiée en trois scènes rapides (le prégénérique, la partie d'échecs, la réunion de kickstart). Et bien sûr le film a rajouté de l'action comme la course-poursuite en hors-bord à la fin.
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