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 LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)

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MessageSujet: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMar 15 Aoû - 10:36

Victime de ses clichés, de son image élitiste voire ringarde, l'opéra est souvent vu uniquement sous l'angle du chant. Or, un opéra, c'est avant tout une histoire, imaginaire ou tirée d'un fait historique, mythologique. C'est une histoire écrite, scénarisée, avec acteurs/actrices, décors et costumes, un véritable scénario. D'ailleurs, les spectateurs recevaient souvent à leur entrée un livret qui leur détaillait l'intrigue et les personnages afin de pouvoir suivre.
Alors, les plus grands opéras, ça parle de quoi en fait ? Revue de détails...

NABUCCO, Verdi

LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) 38110

(Photo : asopera.fr)


Un peu le "monstre sacré" de l'opéra, présenté pour la première fois à Milan en 1842. S'inspirant de l'épisode biblique des juifs à Babylone, c'est un opéra en quatre actes, devenu prétexte à des mises en scène grandioses, des costumes et décors somptueux et des dizaines de figurants, un véritable Péplum. Bien sûr, cela dépend des réalisateurs et de leur mise en scène mais il est resté comme la "superproduction" de l'opéra, l'un des plus grandioses et impressionnants. Au fil du temps, jeux de lumières et effets pyrotechniques sont venus enrichir la mise en scène. On aura même vu des chevaux sur scène dans certains cas !

LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Nabucc11

(Photo : classicfm.com)

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(Photo : metopera.org)

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(Photo : owl-ge.ch)

LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) 1718pu10

(Photo : laopera.org)

Mais alors, de quoi ça parle ?
Attention, l'histoire est longue...

Terrifiés, les Hébreux supplient Dieu de leur venir en aide face aux troupes babyloniennes qui approchent. Le grand prêtre Zaccaria a pris en otage Fenena, fille de Nabucco, roi de Babylone. Il exhorte son peuple à espérer en l'aide divine : Fenena pourrait constituer un gage de paix entre les Hébreux et les Babyloniens. Mais Ismaël, neveu du roi des Hébreux, annonce que l'avance de Nabucco et de ses soldats ne s'arrêtera plus désormais. Zaccaria incite alors les Hébreux à repousser l'ennemi et, après avoir confié Fenena à Ismaël, se retranche pour défendre la ville et le temple. Ismaël et Fenena, secrètement amoureux l'un de l'autre, restent seuls. Il lui rappelle comment elle l'avait fait évader de prison à Babylone lorsqu'il s'y était rendu comme ambassadeur. Maintenant, c'est lui qui est résolu à la libérer à son tour et à fuir avec elle. Les deux jeunes gens sont en train d’organiser leur fuite quand pénètre dans le temple Abigaïlle, fille supposée de Nabucco, à la tête d'une troupe de Babyloniens déguisés en Hébreux. Aussi amoureuse d’Ismaël, Abigaïlle est prête à sauver le peuple hébreu si Ismaël la préfère à Fenena, mais le jeune homme refuse. Nabucco, à la tête de son armée, profanant le temple et décidé à piller la ville, Zaccaria menace de tuer Fenena. Alors que le grand prêtre est sur le point d'égorger la princesse, Ismaël s'interpose, retient sa main et délivre Fenena. Nabucco donne alors l'ordre de piller le temple et d'emprisonner les Hébreux. Zaccaria et les Hébreux maudissent Ismaël qui, en délivrant Fenena, a trahi son peuple.

Seule dans les appartements royaux, Abigaïlle tient dans ses mains un parchemin volé à Nabucco, et qui témoigne de ses origines d'humble esclave. Sa colère éclate à la nouvelle que Fenena, nommée régente par son père, a ordonné de libérer tous les Hébreux. Maintenant, Abigaïlle est déterminée à tout faire pour s'emparer du trône. Zaccaria, prisonnier, entre dans une salle du palais, suivi d'un Lévite portant les Tables de la Loi et se retire après avoir demandé à Dieu de parler à travers ses lèvres. Ismaël, convoqué par le grand prêtre pour répondre de sa trahison, est maudit par les Lévites, mais Anna, la sœur de Zaccaria, le défend : le jeune homme n’a en effet pas sauvé la vie d'une infidèle, mais celle d’une Juive, puisque la fille du roi ennemi s'est convertie depuis par amour. La situation a entretemps empiré : en une succession rapide d'événements, Abigaïlle fait irruption avec son entourage et demande à Fenena la couronne, mais Nabucco, que l’on croyait mort dans la bataille, arrive et la reprend. Puis il commence à se moquer du Dieu Belos, qui a poussé les Babyloniens à le trahir, puis du Dieu des Hébreux. À la suite de la déclaration de Fenena qui divulgue sa propre conversion, il lui demande de s’agenouiller et de l’adorer, non pas comme un roi, mais comme un Dieu unique et menace de mort Zaccaria et les Hébreux s’ils ne se plient pas à sa volonté. Immédiatement après, le Dieu des Hébreux le foudroie, la couronne tombe au sol et le roi commence à montrer des signes de folie. La couronne tant convoitée est rapidement recueillie par Abigaïlle.

Cette dernière, assise sur le trône à côté de la statue d'or de Belos, dans les jardins suspendus de Babylone, reçoit l'hommage de ses sujets. Quand le grand prêtre lui remet la condamnation à mort des Hébreux, la reine feint de ne pas être certaine du sort à leur réserver. À l'arrivée du roi déchu, l'usurpatrice change d'attitude et donne l'ordre de le reconduire dans ses appartements. Elle le prévient qu'elle est désormais la gardienne de son siège et l'invite à apposer le sceau royal sur la sentence de mort des Hébreux. Le vieux roi hésite, Abigaïlle le menace, l'accusant de lâcheté et à la fin Nabucco cède. Mais il est pris d'un doute : qu'en sera-t-il de Fenena ? Abigaïlle, implacable, lui affirme que personne ne pourra sauver sa fille et lui rappelle qu'elle aussi est sa fille. Mais le roi lui révèle qu'elle n'est qu'une esclave. Elle tire alors de son sein le parchemin qui atteste de ses origines et le détruit. Le roi, trahi et détrôné, en entendant le son des trompes qui annoncent l'imminence du supplice des Hébreux, appelle ses gardes, mais ceux-ci viennent l'arrêter, obéissant aux ordres de la nouvelle reine. Déconcerté et impuissant, Nabucco demande en vain à Abigaïlle un geste de pardon et de pitié pour la pauvre Fenena.

Sur les bords de l'Euphrate, les Hébreux, vaincus et prisonniers, se rappellent avec nostalgie et douleur leur patrie perdue. Le grand prêtre Zaccaria les incite à ne pas pleurer comme des femmes et prophétise une sévère punition pour leur ennemi : le Lion de Juda vaincra les ennemis et détruira Babylone.

Seul dans une salle du palais, Nabucco se réveille d'un cauchemar en entendant des cris et, les prenant pour des appels à la guerre, rassemble ses hommes pour marcher sur Jérusalem. Entendant en lui d'autres voix qui répètent le nom de Fenena, il s'avance à la fenêtre et voit avec horreur sa fille enchaînée et flagellée. Désespéré, il court à la porte, tente en vain de l'ouvrir et, se rendant enfin compte qu'il est prisonnier, s'adresse au Dieu de Juda pour invoquer son aide et implorer son pardon. Comme en réponse à sa prière surgit son fidèle officier Abdallo avec une poignée de soldats. Abdallo lui restitue son épée et lui offre de l'aider à reconquérir son trône.

Dans les jardins suspendus passe le triste cortège des Hébreux conduits au supplice. Zaccaria rassure Fenena et la jeune fille se prépare à mourir en martyre. La scène est troublée par l'arrivée de Nabucco qui, à la tête de ses troupes, ordonne de briser la statue de Belos. "Miraculeusement", l'idole tombe d'elle-même. Tous crient au divin prodige, Nabucco redonne la liberté aux Hébreux, annonce que la perfide Abigaïlle s'est empoisonnée et ordonne aux Hébreux de construire un temple pour leur dieu grand et fort, seul digne d'être adoré. Hébreux et Babyloniens s'agenouillent et invoquent l'"immense Jéhovah " tandis que Zaccaria adresse à Nabucco la dernière prophétie : "Servendo a Jeovha sarai de' regi il re !" (En servant Jéhovah, tu seras le roi des rois !).

Un véritable Péplum donc, à l'histoire riche et complexe et qui nécessite souvent un lieu adapté, une mise en scène assez grandiose et de nombreux décors et costumes tout aussi somptueux. En général, au-delà de l'histoire et du chant, l'effet visuel de Nabucco est souvent magnifique. Il existe bien sûr des versions et mises en scènes dîtes "modernes" mais là, je passe mon chemin...

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(Photos : opera-poznan.pl)
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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMar 15 Aoû - 11:39

Un opéra très populaire en son temps... d'ailleurs le Chœur des Esclaves, sa chanson "phare", fut un véritable hymne à la liberté chez tous les Italiens qui, au XIXe siècle, luttaient contre les Autrichiens et cherchaient à réaliser leur unité politique :


Il n'était pas rare de voir les spectateurs, debouts, reprendre le refrain.

Le nom du compositeur était même devenu un acronyme : V.E.R.D.I = Vittorio Emmanuele Re de Italia.
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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMar 15 Aoû - 13:18

Effectivement, Nabucco était en fait un manifeste politique, une allusion au sort du nord de l'Italie alors sous domination autrichienne.
Avec Aïda qui se déroule lui à la cour des Pharaons et sur lequel je reviendrai prochainement, c'est l'opéra grandiose, "Péplum" et imposant. Après, encore une fois, tout dépend de la mise en scène et du "réalisateur"...
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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMar 15 Aoû - 13:35

Mais au XIXe siècle, l'opéra était un genre populaire. Il n'y avait pas cet élitisme actuel. A cette époque, tout le monde allait à l'opéra : le petit peuple avait les sièges du bas, près de l'orchestre et les riches, les aristocrates, avaient leurs places réservées dans les loges, au balcon... et comme je l'ai dit, certains morceaux étaient souvent mieux applaudis par certains que par d'autres...

L'opéra - tout comme le théâtre - a contribué à l'histoire.

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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMar 15 Aoû - 14:15

L'opéra et le théâtre étaient un peu leur cinéma quelque part... On allait voir une grande histoire avec décors et costumes, des méchants et des gentils, des rebondissements... Et n'en doutons pas, les spectateurs devaient réagir comme nous aujourd'hui au cinéma à certains passages, certains moments. Il y avait même les effets spéciaux de l'époque, roulements de tambours pour le tonnerre, une poudre jetée dans les flammes d'un brasero pour les éclairs, un acteur jouant le rôle d'une divinité descendant du ciel tenu par des câbles invisibles dans la pénombre ou des défunts surgissant des tombes, c'est à dire d'une trappe dissimulée dans la scène...
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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeMer 30 Aoû - 19:43

Madame Butterfly

LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Leopol10

Opéra en deux actes seulement (parfois adapté en trois) de Puccini, Madame Butterfly est présenté pour la première fois en 1904.
En plein "japonisme" dans les arts et la culture occidentale de l'époque, cette histoire d'amour entre une dame japonaise et un marin américain connaîtra un énorme succès et sera très vite représentée partout dans le monde, atteignant Saïgon et Sydney dès 1910. Les plus grandes divas se bousculeront par la suite pour incarner le fameux personnage principal.
L'histoire ?

Au début des années 1900, un marin américain en escale à Nagasaki loue une maison traditionnelle et tombe amoureux d'une jeune Geïsha qui y vit, Cio Cio Sian, "Madame Butterfly (papillon)". Par toquade, par jeu, il va même jusqu'à l'épouser, la jeune femme, sincèrement éprise, renonçant à sa religion pour lui et acceptant de subir la réprobation générale.
Notre officier repart en mer et s'absente pendant trois ans, trois ans au cours desquels Madame Butterfly espère de ses nouvelles et lui reste fidèle, élevant seule le fils qu'elle a eu de lui (et dont il ignore l'existence). Le marin finit par revenir à Nagasaki mais au bras d'une nouvelle épouse, américaine. Désespérée, Madame Butterfly se donne la mort en se poignardant par l'équivalent féminin du Seppuku.

Madame Butterfly fût décrié par certains mais le succès fît taire toutes les critiques. Opéra assez court, à l'atmosphère confinée, en huis-clos, c'est une tragédie sur l'amour déçu, dominée par le personnage principal qui éclipse tous les autres ou quasiment. Qualifié de "tragédie japonaise", cet opéra avait également une forte symbolique, opposant un Extrême-Orient exotique et fascinant, pétri d'honneur et de dignité à un Occident arrogant, vaniteux et inconstant. Une symbolique si forte qu'il ne fût plus joué après l'attaque de Pearl Harbor et pendant la Seconde Guerre Mondiale aux USA, accusé de donner une image trop négative de l'Amérique...
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MessageSujet: Re: LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?)   LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) Icon_minitimeVen 6 Oct - 22:03

Lucia de Lammermoor

LES GRANDS OPERAS (Mais de quoi ça parle?) 20093911

L'opéra préféré des amateurs de SF... Hé oui, c'est bien un morceau de cet opéra, L'air de la folie que chante la Diva Plavalaguna dans Le cinquième élément de Luc Besson. En fait, c'est la diva albanaise Inva Mula qui l'interprète et l'air a été retravaillé informatiquement. Luc Besson voulait une voix "inhumaine" puisque son personnage est une diva extraterrestre.

Lucia di Lammermoor est un opéra en deux parties et trois actes de Gaetano Donizetti, datant de 1835. Il est représenté en France pour la première fois en 1839.
De quoi ça parle ?

L'action se déroule dans l'Écosse de la fin du XVIème siècle. Les riches et puissantes familles luttent entre elles et se déchirent tandis que les guerres entre catholiques et protestants font rage. Les Ashton — depuis longtemps les grands rivaux des Ravenswood — ont pris possession du château de ces derniers, situé près de Lammermoor. Là-dessus vient se greffer l'histoire d'amour entre Lucia et Edgardo, issus de familles rivales. Un scénario à la Roméo et Juliette donc pour cet opéra tragique, considéré comme précurseur du romantisme italien et comme le chef-d'oeuvre de Donizetti.
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